Etats-Unis des années 20, dans un quartier résidentiel proche d’un grand cabaret, une petite fille fait le mur pour aller voir sa mère chanter au Ghost Note. Aidée de son amie imaginaire Dawn, une acrobate ayant la capacité de se changer en ombre, la petite Didi va œuvrer pour réconcilier ses parents séparés et les protéger des gangsters qui poursuivent son père. Ombre, lumière et jazz sont au rendez-vous.

Contrast mise sur son gameplay pour proposer une expérience originale : composer un jeu de plate-formes à la fois en 2D et 3D. Votre personnage, Dawn, peut se fondre dans un mur en se changeant en ombre et interagit avec les éléments projetés. L’importance de la perspective offre un challenge supplémentaire en faisant varier les dimensions des différents éléments du décors et fera chauffer vos méninges, d’autant plus qu’il faudra habilement passer de l’ombre à la lumière pour franchir certains obstacles.

Pour sauver la famille de la petite Didi, il faudra avancer dans un monde fantasmagorique, collecter des luminaires et réveiller des souvenirs. Le rêve et le réel se mêlent pour donner des décors et une histoire intrigante, dignes d’un film noir. Graphiquement léché, Contrast est éblouissant de beauté et d’éléments originaux qui lui donnent beaucoup de charme.

Qu’il s’agisse de Didi et Dawn, ou des nombreux protagonistes projetés aux murs, les personnages sont tous hauts en couleurs et dévoilent leurs secrets tout au long de l’aventure. Niveau ambiance, Contrast possède une bande son jazzy qui colle parfaitement à l’époque choisie et lui donne encore d’avantage de puissance.

Que ce soit pour son ambiance ou son gameplay, Contrast promet de vous faire parcourir un monde enchanteur et plein de beauté. Laissez-vous guider par la petite Didi à travers les rues et les ruines de ses souvenirs pour une aventure riche et originale.