Fiches de présentation


The Elder Scrolls Online

Rédigé par AoNoShiro   dans  Mmorpg               23 Avril 2014
The Elder Scrolls Online
Nom du jeu : The Elder Scrolls Online (TESO)
Développé par : Zenimax
Édité par : Zenimax
Date de sortie : Avril 2014
Disponible sur : PC actuellement, PS4 / Xbox One en juin
Genre : MMORPG

 

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Descriptif :

Après Morrowind, Oblivion et plus récemment Skyrim, la série des “The Elder Scrolls” nous gratifie cette fois d’un titre complètement online type MMORPG (genre représenté par les éminents World of Warcraft et autres Guild Wars II…).

On se retrouve donc propulsé dans le continent dénommé Tamriel, regroupant neuf zones, théâtre d’un leveling acharné des joueurs en quête d’aventures toujours plus trépidantes. Sur des considérations plus “terres à terres”, on retrouve dix races, dont une exclusive aux acheteurs de l’édition collector ; tirées du lore de la série (nordiques, brétons, orcs etc…), pouvant rejoindre l’une des trois factions, là encore présentes dans le background (Ebonhearth, Aldmeri et Daggerfall) et ainsi terminer sur le choix cornélien de la classe du personnage, nouveauté de l’univers Elder Scrolls, qui n’imposera pas les limitations que l’on pourrait imaginer de prime abord.

Ainsi, choisir entre Sorcerer, Nightblade, Templar ou Dragonkight n’aura que “peu” d’incidence, car il sera totalement possible de choisir et modeler le personnage selon ses fantaisies, se spécialiser dans la magie de classe, ou se reposer sur les compétences d’armes communes à toutes, le choix est complètement libre au fur et à mesure que l’on récupère les points de compétences requis pour l’opération.

La montée en niveaux, quoiqu’un peu laborieuse sur l’attaque, révèle l’intérêt du jeu dans l’aventure et l’exploration. Ici pas de hub de quêtes, si ces dernières sont effectivement plutôt groupées, vous les trouverez surtout au gré de vos excursions champêtres ; l’occasion, éventuellement, de trouver des matériaux pour le crafting, ou une tour abandonnée qui recèle un fragment de skyshard (trois skyshards donnent un point de compétence bonus).

Contrairement à d’autres jeux du genre, TESO laisse une liberté totale dans le crafting, il n’est pas question de choisir entre plusieurs métiers, ils seront tous accessibles, et il ne tiendra qu’à vous de les monter. Cette liberté que l’on retrouve ici ou au niveau du choix des compétences se retrouve également du côté de l’équipement, à l’image de ses prédécesseurs, TESO permet à un sorcier de s’équiper avec des armures lourdes et d’empoigner solidement une épée à deux mains, pour castagner toujours plus de braves mécréants errants ici et là.

Côté gameplay, rien de bien nouveau, une barre de magicka (mana), une barre de vie et une autre d’endurance, la première servant à incanter vos sorts de classe, la seconde n’a pas besoin d’être détaillée (?) et la dernière permettant l’utilisation des compétences liées à l’arme, d’esquiver ou de sprinter. Les combats, de ce fait, sont plutôt dynamiques, le mouvement, la gestion de timings ou le blocage étant des notions importances certes, mais parfaitement accessibles pour le néophyte.

Visuellement, sans avoir la volonté de décoller la rétine, l’ensemble n’en est pas pour autant mauvais, cependant la direction artistique paraît fade et les intervenants manquent cruellement de charisme. Certains endroits auront une désagréable impression de déjà-vu (recyclage)…
Les sorts n’en resteront pas moins sympathiques à regarder, sans pour autant vomir des effets en veux-tu en voilà. Mention spéciale (négative) pour l’interface brouillonne, et le syndrome Guild Wars de vouloir limiter le nombre de compétences (ce qui, d’un autre côté, demande un effort de réflexion sur le build, ce qui n’est pas forcément un mal).
Cyrodil, la zone PvP (factions contre factions), se révèle surprenante de fluidité, les combats parfaitement lisibles, rendent le joueur contre joueur un pur plaisir et nul doute que cette partie du jeu se révèle incontestablement être un de ses gros points forts.

Cette brève présentation n’est, bien entendu, pas assez pour parler pleinement du jeu, qui manque certainement d’un petit truc pour le rendre indispensable, mais il n’en reste pas moins solide et agréable à jouer, un compromis intéressant entre l’univers Elder Scrolls et le MMORPG.

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Notre avis
Graphismes Jouabilité/Gameplay Scénario Bande son
Note : 4/5 Note : 4/5 Note : 3/5 Note : 4/5

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